QUI SUIS JE ?
En version : “je ne vous cache rien” !
Bonjour,
Je me présente, je m’appelle Patrice LE THIEC et je suis Psychologue Clinicien et Psychothérapeute spécialisé dans les prises en charge des traumatismes et Praticien en Ostéopathie et en Médecines Holistiques. Je vous laisse donc découvrir ci-dessous mon cheminement pour que vous puissiez mieux me connaitre…Et mon parcours professionnel est ici : MON PARCOURS en quelques lignes
Je vous remercie d’avance pour votre intérêt et si vous souhaitez me suivre vous pouvez aussi le faire via ma chaîne YouTube. Vous aurez aussi la possibilité de voir de nombreux paysages de l’île de La Réunion, où je vis avec ma petite famille.
Regardez ici : Ma chaîne YouTube
Voici donc mon histoire :
Tout à commencer le jour où j’ai oublié d’aller à un examen !
Il était midi passé, on sonne à ma porte et une amie étudiante en Licence de Philosophie m’interpelle inquiète : Mais où est-ce que tu étais passé, on avait un examen ce matin !
Oui, je n’ai pas eu mon module, bien sûr. Et comme par hasard, au rattrapage non plus ! Et pour en rajouter, il fallait que je parte faire mon service militaire obligatoire. Bon, je dois vous avouer que l’idée d’être enfermé pendant presque un an dans une caserne ne m’emballait pas du tout ! J’ai donc opté pour une objection de conscience (à l’époque, on doublait votre “peine” pour vous dissuader de le faire, bouh !!).
En fait, j’ai passé deux ans au sein d’une compagnie théâtrale pour jeune public pour finalement y rester 7 ans en tout. Il y a pire comme caserne, non ?
C’était ma première vraie expérience professionnelle, et j’y ai beaucoup appris.
1. MON CHEMIN VERS LA PSYCHOLOGIE
Comme quoi, j’avais bien fait d’écouter mon Intuition, mais ça, c’est une longue histoire sur laquelle je vais revenir.
En résumé, j’ai appris que dès que je n’écoutais pas ma petite voix intérieure, comme certains l’appellent, je le regrettais systématiquement juste après. Inutile de vous dire que cette expérience-là j’en ai un peu trop abusé, si si ! Un peu têtu le gars tout de même ! Mais, il fallait bien que jeunesse se passe, comme on dit !
Cela vous est-il arrivé de ressentir quelque chose et que votre raison ou votre mental vous dit : “mais non, c’est beaucoup plus logique comme ça !” ?
Oui, alors résultat ?
On aurait mieux fait d’écouter notre ressenti !
Bref, je travaille et je travaille dans ce théâtre essayant de faire ma place, mais c’était comme si la vie me disait : “non, ce n’est pas là ton chemin”. J’ai essayé pourtant, j’avais 24 ans.
Et puis, il me manquait juste un module optionnel de Philo pour avoir un bac +3. Un peu bête de ne pas terminer, non ?
Donc, me voilà reparti sur les chemins de la Fac. Mais plusieurs années en dehors des études, c’est dur de se remettre à disserter sur l’existentialisme de Husserl.
Du coup, je regarde ce que l’université me propose et je trouve un module en psychologie, avec méthode autobiographique (j’ai toujours aimé écrire) et, des cours de psychologie clinique. Bon, il aura tout de même fallu négocier pour avoir droit aux cours que je voulais.
Oui, il faut oser avancer, se “bouger” pour obtenir ce que l’on veut, ça aussi ce fut une leçon essentielle.
ÊTRE EN MOUVEMENT, AGIR POUR AVANCER !
Sans actions, rien ne se passera jamais !
Oui, la “psy” ça m’a plu !
Finalement, j’ai poursuivi mon cursus jusqu’à l’obtention de mon diplôme (cette fois, j’ai tout eu, même avec mention, non, mais !).
Je suis donc devenu Psychologue Clinicien mais pas uniquement, et la suite risque de vous surprendre !
Comme quoi, la vie m’a poussé à écouter mon intuition et en même temps m’a poussé à agir pour avancer.
2. ÉCOUTER SON INTUITION ET AGIR !
Voilà peut-être la formule que je pourrais inscrire sur le fronton d’une école qui se voudrait nouvelle et qui viendrait relier la psychologie avec… (je n’aurais jamais cru cela possible et pourtant, la suite va vous le prouver !)
Allez, petite devinette, rien que pour vous :
Qu’est-ce qui n’a rien à voir avec la psy et qui se retrouve en dehors de son champ de compétence ?
Et cette approche n’a jamais encore été affiliée à la psy, et pourtant nous vivons au quotidien, à chaque instant avec les deux à la fois…
Une petite analyse pour vous aider : la psychologie signifie la science du langage, de la Parole. Et lorsque vous allez voir un psy, qu’est-ce qu’il fait et vous fait faire, eh oui ! PARLER.
Alors, si c’est autre chose que la parole… c’est quoi ?
Eh oui…
BRAVO, c’est bien ça, NOTRE CORPS !
Et l’approche thérapeutique qui s’occupe principalement de la structure du corps c’est :
L’OSTÉOPATHIE (dans laquelle j’inclue la kiné).
Mais attendez, ce n’est pas fini !
Nous avons dès à présent le corps et la psyché, mais il manque encore quelque chose…
Mais, je vais peut-être un peu vite !
J’en vois certains commencer déjà à sourciller !
3. L’OSTÉOPATHIE ET LA PSYCHOLOGIE :
AU COMMENCEMENT DE MON PARCOURS DE PRATICIEN EN THÉRAPIE INTÉGRATIVE
Comment peut-on devenir psychologue et s’intéresser aussi au corps, à sa structure, ses organes, ses viscères et même au crânien ?
Et là, tout a commencé par un mensonge !
Stratégique il est vrai, mais tout de même ! Bon d’accord, on pourrait dire que c’était une omission ! 😉
En fait, en même temps que mes études de psy, je m’étais inscrit dans une école de psychothérapie.
Et c’est là où j’ai dû faire attention à ce que je disais lorsque j’étais à l’Université. Si je voulais devenir psychologue, je n’avais surtout pas intérêt à dire que je suivais un enseignement dans une pratique thérapeutique spécifique et quelle qu’elle soit d’ailleurs. Triste réalité ! 😥
Vraiment, je n’exagère pas.
J’étais dans une Fac de psycho à orientation Lacanienne et on ne rigole pas avec ça.
Hors de la psychanalyse, point de salut !
C’était même “Vade retro satanas”, j’en rigole maintenant parce que franchement se faire la guerre alors qu’en réalité on a le même objectif (enfin, je le pensais, mais on en rediscutera). On a un peu l’impression parfois, d’être dans une cour d’école !
C’est justement ça qui est triste, ce sont que des guerres d’écoles, malheureusement !
Mais je ne regrette pas une seule seconde, même maintenant mon “mensonge”. 😉
Parfois, face à l’obscurantisme il faut savoir faire de la résistance !!
Mais sachez que le temps de mes études, j’ai été un vrai Lacanien, sinon, je n’aurais jamais obtenu mon diplôme. Il en fait foi !
Blague à part, je n’ai en réalité rien à reprocher à la psychanalyse lacanienne dans le sens où sa valeur théorique est juste et valide.
Cependant, ce qui pour ma part, m’a fait choisir d’explorer d’autres sentiers c’est la pertinence pratique dans l’accompagnement thérapeutique.
La théorie est juste, oui, mais après…
Justement, toute la démarche psychanalytique est orientée vers et pour la théorie.
Et pour citer Lacan lui-même, cela donne en substance : ce que nous cherchons, c’est comprendre, et si accessoirement cela aide une personne c’est bien, mais ce n’est pas notre objectif.
Voilà, tout est dit de l’orientation choisie. Donc en tant que futur psychologue, on a le choix, soit on est théoricien soit praticien. J’ai donc choisi mon camp !
Et d’ailleurs, mon camp a été choisi avant même d’y entrer.
Je m’étais déjà inscrit dans une école qui formait au Focusing, une approche créée par Eugène Gendlin, un élève de Carl Rogers. Les bases de cette approche reposaient sur le “ressenti corporel”.
De là, à aller voir directement dans la structure du corps, pour moi il n’y avait qu’un pas…
Bon d’accord, presque…un pas.
Peu de temps après, je fais la rencontre d’un Ostéopathe qui me montre une plaquette où est proposé un cursus en approche manuelle. C’était une formation en Ostéopathie avec une orientation viscérale et crânienne couplée à une approche en Médecine Traditionnelle Chinoise.
Et bien, vous me croirez si vous voulez, je savais que je devais y aller, mais franchement je ne comprenais absolument rien à cette formation. Mais, j’ai écouté l’appel et j’y suis allé.
Alors qu’elle ne fut pas mon étonnement lorsque je me suis retrouvé à expérimenter plusieurs façons de remettre une vertèbre à sa place ou aller plonger dans les viscères pour y décoller quelques adhérences.
Et bien, vous savez quoi, je me suis rendu compte que cela ne me posait, absolument, aucun problème.
“Ils ne savaient pas que c’était impossible, alors ils l’ont fait” Mark Twain
Oui, ce fut bien ça !
Voilà comment je suis devenu un psy qui pouvait aussi agir au niveau de la structure du corps.
Et pourtant, vous savez quoi ?
Personne pratiquement n’ose faire ce pas !
Et c’est bien là, LE problème !
4. UNE QUESTION D’ÉTAT D’ESPRIT
Incroyable !
Chacun reste sur ses acquis : les “psys”, avec le : “on ne touche pas, oh mon dieu” et les kinés et/ou ostéopathes, avec le : “nous, on ne touche que la structure du corps et l’on ne parle pas, encore moins on ne touche pas aux émotions ! Si ça commence à sortir on fait quoi, et voilà, maintenant je vais être en retard !”. 😉
Ce ne sont pas des critiques, bien au contraire, j’ai parfaitement conscience de la réalité que chacun essaie de gérer au mieux son domaine, et c’est assez compliqué comme ça me diront certains praticiens. Je les comprends !
Pourtant, si l’on n’inclut pas ces deux dimensions, comment espérer qu’une structure du corps habituée à rester dans une lésion depuis l’enfance puisse se libérer en un clin d’œil ?
Les structures se tiennent l’une, l’autre.
Voilà pourquoi on peut tourner en rond sans jamais trouver de solutions à un blocage. Le corps garde en mémoire les informations et si l’on ne se connecte pas à la source qui a créé le blocage, comment en sortir ?
Cependant ici, la solution à ce problème n’est pas technique, mais bien psychologique ou, pour parler plus clairement, d’état d’esprit, de Mindset.
Seul notre état d’esprit peut changer notre réalité.
Voilà l’une des raisons majeures de l’existence de ce blog :
LE SENS DE CE BLOG :
OUVRIR A DE NOUVEAUX HORIZONS
Bien, maintenant vous comprenez mieux le cheminement de la psychologie vers l’ostéopathie.
Cependant, il nous reste le dernier point du triptyque et pourtant étrangement ce fut pour moi ma première approche de développement personnel.
5. MA PREMIÈRE THÉRAPIE
Comment un psy a-t-il commencé son travail personnel sur lui-même ?
Vous allez me dire, en faisant une psychothérapie ! Cela aurait été logique, mais encore une fois, non ce ne fut pas mon cas.
J’ai commencé mon cheminement personnel en apprenant à Rêver !
Mais, attention, pas n’importe quel rêve, celui du voyage intérieur ou que l’on appelle aussi le “voyage chamanique”.
Le rêve et internet
Oui, ma première thérapie, je l’ai effectuée en me connectant, non pas sur internet (qui n’existait pas à l’époque de la façon dont nous le connaissons actuellement), mais en me connectant sur le réseau parallèle de la conscience, celui du RÊVE justement.
Et on y retrouve les mêmes principes que sur le web : on peut y avoir accès à tout, il faut juste savoir se connecter aux bons sites (celui du bon Mindset) ceux avec un état d’esprit positif et constructif.
Il y a aussi des règles à respecter et à suivre pour ne pas se perdre dans les limbes de la conscience et de l’inconscience.
C’est justement ce qui se passe pour les psychotiques ! Ils ont une connexion ouverte en permanence sans qu’ils puissent justement faire de pauses ou l’arrêter.
Imaginez-vous constamment connecté à toutes les informations du web, mais attention, de façon simultanée.
Oui, ça devient vite le bazar surtout avec l’impossibilité de pouvoir dire stop.
Mais alors est-ce que cela veut dire que l’on peut apprendre à rêver d’une bonne façon ?
Effectivement !
On peut apprendre à rêver !
Et, c’est bien l’une des raisons de l’existence de ce blog :
Vous montrer comment faire et vous accompagner sur ces “chemins de traverse” vers la connaissance de soi.
Mais alors concrètement cela consiste en quoi ?
Lors de mon parcours chamanique, l’une des premières choses que j’ai découvertes c’est le contact avec mon animal totem.
6. LA RENCONTRE AVEC SON ANIMAL TOTEM
C’est la première clef qui nous conduit vers la connaissance de soi.
Cela nous offre la possibilité d’avoir une image de soi à atteindre et à transformer en conscience.
À travers la rencontre d’une représentation de soi, nous avons la possibilité de nous voir avec nos forces, nos qualités, mais aussi nos défauts et nos limites à transformer et à dépasser.
Cela nous offre la possibilité de commencer à travailler très concrètement sur soi.
C’est ce qui s’est passé pour moi, et c’est un point sur lequel je vais pouvoir vous accompagner.
Vous trouverez d’ailleurs dans un article mon parcours précis sur cette découverte et une proposition d’expérimenter par vous-même cette aventure dans le Monde du Rêve.
Mais comment cette histoire a-t-elle commencé ?
Par une rencontre ! Cela ne vous étonne pas, bien sûr ! 😉
Nous étions 3 amis en fac de philo à partager cette passion pour cette “réalité parallèle”. Ce monde symbolique de l’inconscient collectif, pour faire référence à Carl Gustav Jung et sa notion d’archétype.
Nous étions des passionnés de mythologies, de l’histoire des religions, de symbolique et du monde du sacré en général.
Alors, naturellement nous sommes allés vers l’expérimentation de ces “chemins de traverse” (pour faire un petit clin d’œil à Harry Potter).
Alors, j’ai commencé mon travail sur moi à ce moment-là, bien avant d’être dans une démarche en psychologie. J’étais même bien loin d’imaginer prendre un jour cette voie.
Je lisais donc à l’époque les ouvrages d’un des pionniers en France sur le chamanisme, Mario MERCIER ou alors le classique des classiques en la matière, Carlos CASTANEDA.
Et puis, pour tout vous dire, j’habitais non loin de la légendaire forêt de Brocéliande, alors inutile de vous dire que j’ai, à l’époque, “séché” quelques cours de philo pour partir rencontrer le monde de la magie de Merlin (mais chut ! ça, il ne faut pas le dire ! 😉 ).
Et là, vous venez de découvrir la deuxième clef de mon travail sur moi, la rencontre avec Merlin.
7. LE TRAVAIL SUR L’ARCHÉTYPE HUMAIN
Oui, on ne fait pas mieux comme image paternelle. Il faut dire qu’en fonction de notre histoire personnelle, nous rencontrons dans notre monde intérieur les archétypes et les Identifications Symboliques qui vont pouvoir nous apporter ce qui nous manque le plus.
Merlin fut pour moi (vers mes 20–22 ans) une image paternelle qui venait combler une blessure et le manque d’un père qui n’a jamais voulu me reconnaître. Un père que j’ai voulu retrouver (à 36 ans), pour le voir me fermer la porte et avec elle, cette reconnaissance paternelle. Il est mort récemment, et cette fois, c’est moi qui ai fermé la boucle en allant à son enterrement.
Pour enfin faire la paix dans mon cœur.
Il n’a pas voulu m’accepter vivant auprès de lui, alors je ne voulais pas à mon tour continuer dans le déni et la colère en le rejetant.
Étrangement, il est mort le jour de mon anniversaire ! (Symbole… quand tu es là !!) 🙂
C’était important pour moi de faire ce geste : être là et réparer ce qui ne pouvait pas être fait avant, par moi seul. Là c’était à mon tour de pouvoir AGIR, et la vie m’a permis de le faire.
Pourtant, je vivais à 10 000 km de lui, et comme par hasard (heu ! je ne crois pas au hasard 😀 )* j’étais en train d’animer une session de formation à quelques kilomètres de là. Alors, j’ai pu aménager ma journée de formation avec tout le soutien bienveillant du groupe que je remercie du fond du cœur par ces mots.
Il y a une chose importante, c’est que le fait d’en parler et d’en faire témoignage est pour moi une source de grande joie et de gratitude envers la Vie.
Ce fut un moment charnière, avec la sensation de pouvoir enfin récupérer une partie de moi à laquelle je n’avais pas pu avoir accès, une part de l’Homme que je suis.
Mais, avant de pouvoir récupérer cette partie de soi, il fallait bien vivre et la Présence de Merlin fut pour moi comme un guide vers qui je suis.
Un phare toujours présent, surtout lorsque les eaux des émotions étaient bien troublées et déchaînées.
Au cœur de la tempête, je pouvais toujours apercevoir Sa Lumière et je savais que malgré les difficultés, je pouvais continuer à avancer et avoir confiance.
N’est-ce pas à cela que peut servir l’image paternelle ?
Je voulais vous témoigner de la réalité et de la portée que cette exploration dans le monde de l’imaginaire peut avoir comme sens et importance dans notre vie .
Tout ce travail sur moi, je l’ai appris non pas dans les livres ou à la Fac, ni en psychothérapie, mais par l’enseignement de la vie, alors il serait pour moi mal venu de ne vous transmettre que des approches et des techniques de psy sans vous apporter toute la richesse et la profondeur des enseignements de la Vie.
Des enseignements qui ont toujours traversé les âges et qui ont été transmis par des initiées de tout temps, au travers de nombreux prismes. Je ne pourrais pas énumérer toutes les sources de sagesses existantes, mais nous aurons l’occasion d’aller approfondir certains de ces enseignements qui m’ont été donnés de rencontrer et de pratiquer.
Ah! en parlant de ma pratique dans ces enseignements traditionnels, je vais tout de même vous donner quelques pistes.
8. LES SOURCES DE MA PRATIQUE HOLISTIQUE
· le chamanisme dans la tradition Lakota (sioux) et Quechua (Équateur) avec la pratique de la hutte à sudation (cérémonie inipi), entre autres.
· La médecine traditionnelle chinoise et taoïste avec la digipuncture, la moxibustion et les exercices internes taoïstes
· Les enseignements de la sagesse d’Hermès et ceux du Bouddhisme Tibétain.
· Tous les apports en pratiques énergétiques
· Toutes les sources symboliques des cultures et religions du monde qui forment toutes, dans leur ensemble, un immense réservoir de ressources dans lequel nous pouvons puiser Inspiration (Aspiration 😉 ) et Force.
Et je vous montrerai des techniques pour que vous puissiez vous aussi profiter de cette abondance de Force et de Vie.
Voilà pour un petit tour d’horizon de ma pratique, en espérant que vous comprendrez mieux mon objectif et ma raison d’Agir sur ce chemin de partage auquel je vous propose de participer.
Je ne pouvais pas rester qu’un psy, puisque “je suis plus que cela…”
Et je pense très sincèrement que la Psychologie a plus que besoin de s’ouvrir vers de nouveaux horizons dans sa pratique et sa façon de penser.
LE CHEMIN COMMENCE !!
À VOUS DE JOUER !
Je vous invite à votre tour à écrire votre histoire surtout si vous vous posez des questions sur votre vie ou que vous êtes à un moment de bilan ou d’un tournant dans votre vie. Cela vous donnera la possibilité de mieux savoir dans quelle direction vous souhaitez aller.
En plus, écrire son histoire est en soi une démarche thérapeutique qui permet de mettre à distance et de plus clairement voir les points importants de sa vie.
Faites-le à votre tour et n’hésitez pas à partager votre engagement et vos témoignages ci-après.
* cf. « Le hasard n’existe pas » de K.O. SCHMIDT